Algeria gained its independence from France in 1962, after a six year long conflict soaked in blood, which toppled the local French regime and left both countries with deep, unhealed scars. 50 years after the events and in spite of many efforts from historians, the topic is still taboo in French society and politics .
Blog Impôts utiles expressed the feelings of right-wing supporters, most of them having refused to watch the movie (fr):
Dernier scandale, le film de Rachid Bouchareb, Hors la loi , qui raconte de façon partiale une part de l'histoire de l’ Algérie.
Ce film a été co-financé par la France (par les impôts des français) par l’ Algérie et la Tunisie.
Away from political agenda, some reviews are enthusiastic. For isntance, Bouillon de culture from Morocco, writes (Fr):
Rachid Bouchareb signe, ici, sans complaisance ou autre flagornerie, une œuvre majeure d’excellente facture, surtout au niveau de la mise en scène.
From France, Sandra.M of In the mood for cinema, writes (Fr):
Une mise en scène ample, lyrique, inspirée, rythmée d'un cinéphile dont on sent les multiples et prestigieuses influences (du “Parrain” de Coppola au cinéma de Scorsese en passant par celui de Melville). Des comédiens une nouvelle fois remarquables. Des questionnements et un sujet passionnants et qui dépassent le cadre de la guerre d'Algérie. Pour moi, un des meilleurs films de cette édition 2010.
From Quebec, Le Blogue des arts du soleil calls the controversy a “tempest in a teapot” about a film set out by some as the Algerian Once Upon a Time in America (Fr):
Avec son intrigue qui peine à trouver sa voie, ses incessants allers-retours dans le temps, ses personnages qui laissent de marbre, Hors-la-loi est à des années-lumière du chef-d’oeuvre de Leone.
Will “Hors la Loi”, due to open in theatres on sept. 22, help France confront its history in a soothed atmosphere ?
Laterna magica is optimistic (Fr):
(…) En 2010, il n’y a pas de raisons que Français et Algériens ne s’entendent pas. En l’occurrence, Bouchareb ne cherche pas à monter les uns contres les autres. Il prend le parti de ceux qui ont contribué à l’indépendance de l’Algérie, en représentant objectivant leurs actions, en montrant le FLN s’organiser selon une logique terroriste plutôt que démocratique, mais il ne juge personne, pas non plus le comportement de la police Française. Certes Bouchareb a choisit son camp, certes la France est l’ennemi dans le film et représenté en tant que tel, mais Hors la loi ne triche pas, ne semble pas s’arranger avec les faits historiques établis, ne diabolise personne non plus.
Le quotidien qui mark jokes about France staying “hors du temps” (outdated), pointing out at an everlasting French failing (Fr):
Que, « Hors-la-loi », le film de Rachid Bouchareb qui a suscité plusieurs polémiques tant sur les massacres de Sétif que sur le rôle du FLN, n’ait pas été consacré par le palmarès du festival de Cannes ne devrait pas trop surprendre les cinéphiles. En revanche, le bruit qu’il a fait sur la Croisette et ailleurs illustre, comme les lois mémorielles, le malaise que la France entretient avec son histoire. Un paradoxe pour une nation qui peut légitimement se targuer d’être au firmament de cette discipline depuis près d’un siècle mais qui est incapable de regarder en arrière sans s’enflammer. Le problème c’est que les Français se réfèrent à Michelet lorsqu’ils parlent d’eux. Du coup, ils se voient comme ils aimeraient être et ignorent que le passé les montre souvent bien différents.
The trailer of the film can be seen here. And for a cartoonist's view of the shared French-Algerian history, go to Large's blog.